Growing Pains

MOI INTRODUCTION

Folder: 
2019

                         MOI 

 

   J’hésite à écrire, à dire la vérité simplement due que je ne penses pas qu’ils comprendront, alors, je joue, je donne et même si je m’enflamme, j’aime ma façon qu’ il me fait du mal, allez expliquer cela dans un monde bien plus cinglé que moi ! allez donnez-moi vos conseils, je suis fatigués de m’excusé pour des causes que je ne crois pas, ma religion n’est surement pas la vôtre mais moi , je sais que je finirais 6 pied sous terre, oh excusé moi, je préfère les flammes, pourquoi prendre plus de place sur une terre qui est déjà surpeuplé, alors vous savez quoi, cette toile, ou j’appartiens cette enveloppe corporelle dans cette rivière, celle ou Margot a passé son enfance, compliqué, tu veux du compliqué, alors là, c’est la fin de ma liberté, si j’osais vous dire, alors rester avec vos sentiments, vos mensonges, et pardonnez-moi, pour la dernière fois, d’avoir osé ! Je suis prisonnier par vos paradis artificielles, beau de l’extérieur, que de beau canulars ! pour mettre fin à mes tourments, mon dégout de cette macabre idéologie, trop intense, alors laissez-moi vous dire que je suis dans cette bulle appeler la vie, j’ai jamais demander, ou voulut vivre mais je suis en paix, et si vous trouvez que vous-même, vos prétendes, vos envies sont paradoxale, alors je me demande qui a raison ,  mes textes vous dérangent il y en auras toujours et la mauvaise nouvelles, comme le petit poucet, j’en ai parsemer partout, comme le venin qui me ronge comme un amour qui fait mal , qui brule, qui détruit mais je préfère souffrir pour un être qui m’aime, plutôt que des fins hypocrites ou m anesthésier avec des anti dépresseurs, allez soyez honnête avec vous-même au moins,  Je préfère bruler en paix ! seul peut être ; mais je suis libre et aujourd’hui il semble que nous sommes interdis de vivre d’être qui nous sommes, alors oubliez vos morales a deux balles, vous savez à présent, que le bizarre est bien moins compliqué que vous prétendez, je t’avais prévenu, c’est un terrain glissant, un monde qui vous dérange et pourtant, vous êtes toujours là, je ne sais pas comment vous dire après des années, a vous renier, a vous rabaissez ou baisez, oh oui, j’ai détruit beaucoup, votre amours n as jamais comblé le vide, l abysse, aucune gloire ou fierté, juste une envie de rester réelle, de ne pas jouer vos jeux ! alors quand je vous quitterais, n’oubliez pas que je serais bien plus heureux que ces années ou j’ai l’impression de voire ce personnage, ce mensonge, gagé par des morales que j’ai refusé et vous avez pensez que la façon était de me faire enfermer, oh je sens la furie qui monte, car là ce n’est que le commencement, de ma confessions, je me demande encore si j’oserais l’exposer, car beaucoup ne comprend rien, encore une fois, il pleure sur leurs sorts, alors tu sais, quoi, j’ai bien envie de révéler des cauchemars, des histoires qu’ on lit dans des bouquins, ce que l’on n’oublie pas, Christiane F, on sait croisé, comprend tu ?, prostitution mineur, overdoses, multiple comas, solitude et silence ! mais si la fin approche, les mots arrivent trop vite, je perds le contrôle de ce monstre que j’ai construit et il y a longtemps que j’ai enterré mon égo, Margot tu m’as sauvé mais ce soir, ton frère est là, il ne t’as jamais oubliez, comment leur dire que sans toi, il y a longtemps que j’aurais retrouvé Christelle, mon amour retrouvé sur une plage, froide,  probable suicide, tiens belle coïncidence que tu as choisis de partir de ce monde, pour mon anniversaire, c’est sûr que chaque années, célébration est synonyme de t avoir perdu, je venais d’avoir 23 et tu venais d’avoir 22 ans, j’ai pas compris, j’ai refusé d’y croire, tu es toujours là, et ce soir, si je suis là à raconter des histoires qui les ennuies probablement, se posent t ils la question pourquoi ? Je ne pense pas, ils arrivent à peine à vivre dans la prétende, dans le mensonge, peur d’être seul ! alors soudainement je me dis tu sais quoi, si être libre et réelle veut dire que tout ce que tu as survécut veut dire honnête, écrire la vérité, soit fier, mais sachez que je n’ai jamais cesser de vous aimer, même si je pense que mes mots peuvent blesser, mais attention, ne marchez sur mes plates-bandes, j’ai pardonnez les coups, la violence, les abus que si peut savent, les prisons à ciel ouvert pour mon bien apparemment, je sais vous y avez crut, mais écoutez bien, ce n’est pas du soin, ou de l’amour, d’infliger les prisons psychiatriques, les hôpitaux, je les connais par cœur, je sais quoi leurs dires, le même jeu, que j’ai comté depuis des années, des détails bien sordides, mais ce soir il est temps que je commence, ne me dit pas que tu pensais que c’était la fin, que j’avais finis de vous dire dans la métaphore, Margot a quittez la scène, et les textes vont bien changer, si je parlais d’auto biographie, je prendrais du vitriole, je serais ce visage rongé par votre acides, qui a lancé le poison, des personnes respecter, des imposteurs, des médecins, famille, amies ! Je n ais plus besoin de la métaphore pour laisser le pue et l’abcès percer, mais avant de tout déballer, je vais m’occuper de ce qui m’aimes, des créatures à poils, des plantes qui me font sourire, des fleurs sauvages, j’arrête, je pense que c’est assez pas mal, Christelle qu’en pense tu ? ton histoire prendras un chapitre, un livre, il faut tout révélé, le viol, peut être q u ils finiront par comprendre, a pardonnez, j’ai honte de n’avoir pas été là, comme j’aurais aimez pouvoir être a tes coté, dans ce lit fait de fleurs fanées, m’endormir à tes cotés ont avaient juré que nous partirions ensemble, merci, pour mon anniversaire, le cadeau était brutal, le scalpel te découpait, j’ai encore du mal à pouvoir imaginez la scène et pour finir en beauté a ton retour en France dans une boite de sapin, il ont choisi de recommencer, deux autopsies c’est un peu trop mais tu n’avais jamais fait les chose à moitié ! PROBALE SUICIDE BABY… bon je vais quittez la scène, il faut que je continus a vivre pour nous, pour Margot, un jour nous savions que les portes allaient s’ouvrir et sa vas faire mal ! Une petite dédicace à ma sœur pour ne m’avoir jamais abandonné….

A bientôt !!!

 

                                 HERVE NAUDET

Growing Pains

Folder: 
The Pixie Dust

Growing up will never be easy.

There’s always pain that comes.

Before you know it, your body stretches.

You get tall, and suddenly, you can see over the sink.

Adults start asking for your opinion,

And you’re expected to have one on who should win an election.

You are talked to differently, with voices a few octaves lower,

Some in ways a human ear could never grace.

When you look in the mirror,

You see not just a face.

The eyes that look back, mirrored anxious expectations

About some life we don’t even have yet, but are told we need.

And we ask it why it looks so sad

Only to receive silence because to speak out loud 

Means we are crazy.

Harboring hate happens faster than a chemical reaction.

Screaming when the pain becomes too much is “dramatic.”

These “growing pains” are invisible with age

And we are expected to keep out of sight, out of mind

Out of our own minds as time winds

Counter-clock to the counterfeit “I’m fine.”

Everything you thought you knew becomes false.

The scent of it makes you vomit at your ignorance,

And the stretch marks in red on your ankle and back

Remind you of how wrong you are; 

Trusting: your biggest fault.

Letting everyone inside so they can run through the house

Break all the dishes on the floor, 

Sweat staining the walls

Water and alcohol spilled all over the floors

Crayons criss-crossing across the walls.

 

Stuffed animals neatly places by your pillows

Knowing that someone will watch you sleep.

Counting sheep, no peeps, tears trickle, one, two, three

Nice and neat, repeat, no more concrete beneath your feet.

 

Jump.

 

 

Growing up will never be easy.

There’s always pain that comes.

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